24/12

Christian Gatelier a un bon job : visiteur médical. Du jour au lendemain, sans aucune raison, il est viré. Il découvrira pourquoi bien plus tard… Il va s’apercevoir qu’Emile Pinchon, son employeur peu scrupuleux, est également gérant d’une grande surface, Big-Marché. Alors qu’il y fait ses courses, il croise deux convoyeurs de fonds portant à bout de bras des sacs contenant la recette de la semaine. Un déclic se produit dans sa tête : si cet argent venait à disparaître, Pinchon serait bien emmerdé… Christian se retrouve sans boulot, cela lui laisse le temps de mettre au point les détails d’un coup mémorable qu’il va tenter de réaliser seul, sans arme, sans violence. C’est avec beaucoup d’imagination et de patience qu’il compte détourner cet argent. Mais jusqu’où ira-t-il ? Et surtout aura-t-il le courage d’aller jusqu’au bout, au risque de finir en prison et de perdre pour toujours sa petite famille qu’il aime tant ?… Trois ans ont passé. Christian a quitté la France et s’est installé à Essaouira, charmante petite ville du Maroc. Nous sommes maintenant en octobre 2003. Pinchon n’a jamais abandonné sa suspicion sur son ancien employé qui a plutôt bien réussi en affaires et pense que tout ce qui lui est arrivé est de la faute de Christian. Il ne rêve que de vengeance et va tout faire pour foutre en l’air la vie de la famille Gatelier Mais Pinchon a commis une grave erreur en s’en prenant à l’un de ses enfants… 24/12 est le premier roman policier de Jean-Pierre Prioul.

Les premières critiques

« Pour un premier polar, ce livre est un coup de maître » Christophe Baudry M-real

« On ne parviens pas à se détacher avant d’avoir lu la dernière page » stéphane Porté NRJ MOBILE 

« La fin est admirable car le scénario ne s’arrête pas… » Stéphane Deschamps Radio France

« Parsemée et assaisonnée d’humour ! » LE NOUVEL

« Je suis persuadé que 24/12 pourrait être un scénario fabuleux » Michel Moncoiffet

« On retrouve dans ce livre de puissants éffluves d’oeuvres aussi fortes que « l’adversaire » d’Emmanuel Carrère » Stéphane Barbier de la serre